JORDAN BARDELLA PULVÉRISE APOLLINE SUR SA PROPAGANDE ANTI-RN
Dans un échange tendu et électrisant, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a confronté Apolline de Malherbe sur ses accusations de propagande anti-RN. La tension était palpable alors que Bardella, avec une détermination sans faille, a défendu son parti et Marine Le Pen, tout en dénonçant les manipulations médiatiques qui, selon lui, déforment la réalité politique.
« Vous êtes prévisibles », a lancé Bardella, accusant les journalistes de ne pas comprendre la profondeur des enjeux politiques actuels. Il a affirmé que les sondages récents montrent une domination claire du Rassemblement national, avec des intentions de vote oscillant entre 34 % et 37,5 %, dépassant largement ses concurrents. « Les Français veulent un changement, et nous sommes là pour l’apporter », a-t-il martelé.
La discussion s’est intensifiée autour de la candidature de Marine Le Pen, dont l’innocence est au cœur d’une procédure judiciaire. Bardella a insisté sur le fait que Le Pen est « présumée innocente » et qu’elle continuera à se battre pour prouver sa probité. « Elle est notre candidate, et nous nous battrons à ses côtés », a-t-il déclaré avec ferveur.
Les accusations de manipulation des médias ont fusé, Bardella dénonçant un traitement biaisé des faits. « Vous vous concentrez sur des détails pour masquer l’essentiel », a-t-il reproché à De Malherbe. La question de l’inéligibilité de Le Pen a également été soulevée, Bardella affirmant que les accusations portées contre elle sont politiques et non judiciaires.

L’animateur a tenté de recentrer le débat sur les implications de ces accusations, mais Bardella a maintenu sa position. « Nous sommes là pour défendre les intérêts des Français, pas pour nous laisser intimider par des attaques infondées », a-t-il affirmé, soulignant que le Rassemblement national est prêt à affronter tous les défis.
Le débat a pris une tournure encore plus dramatique avec la mention des manifestations et des tensions sociales en France. Bardella a appelé à la vigilance face à l’extrême gauche et à l’extrême droite, promettant une réponse ferme contre toute forme de violence ou de racisme. « Nous ne laisserons pas notre démocratie être ébranlée », a-t-il averti.
Ce face-à-face a mis en lumière les fractures de la société française, alors que les élections approchent à grands pas. Bardella, avec une assurance palpable, a su capturer l’attention et l’inquiétude du public, affirmant que le Rassemblement national est plus que jamais prêt à prendre les rênes du pays. La bataille pour l’opinion publique est lancée, et le Rassemblement national semble déterminé à ne pas reculer devant les défis qui l’attendent.
